Citation :
Le chlordécone a été utilisé de 1972 à 1993 dans les bananeraies de la Martinique et la Guadeloupe pour lutter contre les charançons. Ce pesticide est associé à différents problèmes de santé chez l'Homme. Il est interdit depuis, mais les populations locales restent exposées
j'avais entendu cet argument sur une chaine d'info en continu. C'etait sensé expliquer la défiance des antillais envers le vaccin.
C'est tout de même un argument assez enorme que les antillais se mefient d'un vaccin en 2020 parce qu'un insecticide autorisé en métropole de 1972 a 1990 et 3 ans de plus aux antilles a eu des conséquences sur leur santé.
- ils ont trouvé aucun scandale sanitaire plus récent? ceux qui ont été touchés par cela cela ont plus de 40 ans maintenant
- le gouvernement actuel est il vraiment responsable de ce que faisait le gouvernement entre 1990 et 1993.
- il y a une différence notable entre un insecticide et un vaccin. L'un fait pour tuer, l'autre est faut pour sauver.
- le vaccin est issus de la recherche medicale et c'est justement la recherche medicale qui a entrepris de prouver que l'insecticide etait dangereux pour l'homme. C'est en fait grace a la recherche médicale que l'insecticide a été interdit. Ils nous feraient presque croire que c'est le pauvre peuple antillais qui s'est révolté contre le vilain insecticide.
Bref c'est une explication cousue de fils blancs
Citation :
Un exemple de peur des effets inconnus des produits chimiques/vaccins/
c'est tellement audacieux d'assimiler un insecticide et un vaccin. Avec de tel raisonnement on devrait se mefier de tout ce qu'on ingurgite et qui est industriel (medicament, nourriture), voire meme aussi des peintures... Rien n'est sur a part ce qui a poussé localement. Ca va être un sacré boulot d'atteindre l'auto-sufisance aux antilles en se nourissant que des plantes tropicales qui ont poussées sur place.