Allez, un grand classique, je suis sur que tout le monde a toujours une playlist dans les tympans, faites péter le morceau qui passe, on jugera vos gouts ou manque de gouts avec froideur et subjectivité dans le plus grand plaisir !

Godflesh - White flag

https://youtu.be/FclYzljiv_0

oups !

https://youtu.be/oYwIoHtE3Kk

Orgasmic & Fuzati - Planetarium

Prince and the Révolution - Kiss

https://youtu.be/Hrr3dp7zRQY

Ryo Fukui - Scenery 1976 (FULL ALBUM)

J'allais faire une vanne de merde sur les Cadiens, pis j'me rends compte que c'est l'orthographe française de cajun :o

J'aime bien !

Halloween-compatible : Javarnanda - Mysteries of the Unknown - The Boogeyman

Absolument pas mon truc.

https://www.youtube.com/watch?v=HAf2bLkZdGY
En boucle depuis quelques jours :)

The Rush Light, une musiqeu traditionnel russe mais que j'ai découvert avec "JSA"

Rise of the North Star

https://youtu.be/B4n77n3LPBA

Warren G Featuring Nate Dogg - Annie Mae

je kiffe tellement Nate Dogg !

Arf, ça te plait ?

J'imagine que toi non. Pourquoi ? Le son ? Les flow ? Les textes ?

Pour info, le texte a été volontairement pensé comme une métaphore de la société actuelle.

Trop de ressources, trop d'argent, trop d'informations... Et le réveil est non seulement difficile (tout crâme), mais l'addiction est trop forte pour pouvoir s’arrêter du jour au lendemain.

De la merde à l'image du monde actuel. C'est à peu près ce que tu vends acwi

Ouais je sais pas, je comprends pas. Je tente une théorie hein : la théorie de la capitalisation nostalgique ? J'ai l'impression que la seule raison d'écouter encore ce que font "ceux qu'on a aimé", c'est parce qu'on "retrouve de vieux copains", y a une sympathie, eux continuent sur leur lancée, sur ce qu'ils ont vendu d'eux, ils capitalisent quoi, dans le vide.

C'est pas pour ça qu'on a aimé les Svinkels, ça va pas du tout.

Les Svinkels, si on aimait, c'est parce que le texte était gorgé de jeux de mots, c'était énergique, vital, ça faisait jumper ; les voix claquaient sur le beat, ça tapait ; y avait une sensation de vitalité, un côté cradingue vieux bourré mais à l'intérieur d'un texte ciselé, méga-travaillé, des flow qui claquaient...

Et là, la retraite des rappeurs est constamment embarrassante, je comprends pas qu'on écoute du "nouveau Gerard Baste", du "nouveau fuzati", du "nouveau [insert Dr.Dre Snoop Arsenik Oxmo Wu tang]", c'est tout passé, tout pantoufle.

Ici, le texte est chié en 5/5, il le récite, plus de vitalité, texte écrit sur un coin de table pendant une pause.

Mais c'était pas pour ça qu'on pouvait aimer Svinkels !


Donc ouais, incompréhension.

Je comprends. Y'a clairement un coté nostalgie de retrouver les potes, mais en même temps ça me ferait peut-être chier de retrouver toujours la même chose. Ils évoluent. On aime ou pas, mais perso ça me parle toujours.



Dans les albums, ils n'y avait pas que des "morceaux qui claquent". Y'en avaient aussi des plus posés, des moins basés sur les jeux de mots mais plus sur des concepts (les "série noire", par exemple, ou l'excellent Corbeau), d'autres plus politiques, etc...

Je me souviens aussi de l'album Dirty Centre qui avait suscité l'incompréhension de beaucoup de fans. Moins basé sur des mini-thèmes à chaque track, mais plus un album-concept global, de la prod aux texte en passant même par la pochette (qui était super drôle).