Au "Bitrot des poivrots",
C'est Trickster le Chasseur,
C'est PAco le cuistot,
Cuisine à la vapeur,
A l'huile ou à l'eau,
N'ayez pas peur,
Y'a tout c'qui vous faut,
On est p't'être des farceurs,
Mais on est pas des charlots,
Alors écoutez votre coeur,
Et venez prendre un pot...

Comme l'ancien, le nouveau Bistrot des Poivrots est un refuge d'alcooliques en tout genre, capable d'absorber des quantités énormes de Pudh Lagh pour se détendre ou pour tuer l'ennui.

VISITE GUIDEE
Au rez de chaussée : le bar et le restaurant ou vous pouvez manger et surtout boire...
A l'étage : des chambres où travaillent quelques employées pour assouvir tous vos fantasmes. Certaines chambre sont également à louer.
Au sous-sol : les jeux de cartes clandestins et les machines à sous ont étés remplacés par un Bowling.
Derrière le bar : une trappe qui débouche sur le tunnel qui conduit à la bookinerie de mon associé EL PAc(2kr)o.
Sous l'escalier : une petite échoppe, ou notre herboriste Lordypk vend tout un tas de "remèdes" contre le stress.


LES HABITUES ET EMPLOYES
- EL PAco : mon associé, et le cuistot
- Lordypk : notre herboriste, une vrai éponge !
- Canard : notre serveur, dit le "Canard laquais"
- Falco : responsable de l'entretien avec son équipe de slivos
- Raphou : notre apprenti cuistot
- Arkhaine : un client habitué
- Marlyse : une employées louée par Lordy ...
- Rompeprop : Depuis peu, c'est lui qui a les clefs du bistrot

Voilà, vous êtes de nouveau chez vous !!!

Trickster, longue vie aux poivrots !

Garçon,

pensez vous que ce serait possible de me servrir un ?

Mais c'est juste par solidarité, je vais pas le laisser boire seul quand même !!!

Et un 50 de Pudh, pour la soif!!!

Darkent : Un truc comme ça conviendrait-il ?

Mona : La Pudh, c'est ElPaco qui la brassait. Là, on est sur l'avant dernier fut donc je vais juste te mettre un demi, désolé. En espérant le retour du brasseur

Je peux plus boire energy drink car heart go brrrrr

Bon... là, je n'ai rien d'autre qui me vient avec ces couleurs. Il faudrait peut être distiller de l'essence.

Ménage-toi quand même, t'as pas l'âge d'avoir le cœur émoussé.

Ok va pour une pinte d'essence !

On me dit que essence correspond à

Remboursé.

Mmm pas évident. Une gueule de bois, c'est bien un Contrecoup d'essence. Il y a du dedans.

Super :)

*bois sa pinte d'essence*


La vache qu'est-ce que j'aime l'essence moi.

En gros MaDuDu, c'est le lhf du Gen ?

Avec l'amour des sports de glisse en sus.

lhf a l'air plus ravagé comme même.

Même combat, la couche pourrie entre le théoricien pur et la réalité brute. Un diagnosticien à qui personne n'a rien demandé mais qui trouve tout le monde malade.

Bistrot ouvert après 22h !

J'te paye ma tournée. T'as bien mérité un truc qui décape.

Hier je suis parti seul dans la campagne, enfin plutôt au travers d'un petit ravin creusé depuis des siècles par un ruisseau qui se donne au printemps des airs de torrent mais qui est encore presque à sec en ce début octobre. J'ai traversé des murs de ronces, j'ai enjambé des arbres abattus, des souches pourries et de vieilles clôtures barbelées, je me suis fait giflé par des branchages, je me suis enfoncé dans la vase et la luxuriance pour finir par déboucher dans un petit pâturage où étaient posés cinq vaches tellement sales que j'ai cru qu'elles étaient retournées à l'état sauvage. Je voulais être seul, dans cette solitude verte qu'évoque Louis de Vilmorin mais elles n'étaient pas bien gênantes ces bonnes grosses bêtes à la vie presque immobile. Je me suis assis là, sur mon sac à dos pour ne pas me mouiller le cul et je les ai regardées ratisser l'espace dans leur pré en pente en un lent va et vient guidé par une routine herbivore et paisible. Elles levaient parfois la tête sans raison apparente comme pour appréhender un écho insaisissable pour moi mais c'était peut être juste l'effet un gaz présageant la dépose d'une galette fumante. Hier soir, de retour sur Magicville, j'ai vu d'autres vaches, en troupeau, en train de brouter du vent sur un post abrupt. Je préfère les vraies avec leurs yeux luisants de crédulité et leurs mufles embués . Elles ont dû passer la nuit dans le noir, là bas au fond du ravin mais elles se sont au moins serrées les unes contres les autres, juste comme de grosses bêtes vivantes.

Voilà, ça décape ?

Voilà ce qu'il manque à nos amis du gen.
Une balade dans la nature pour renouer avec les fondamentaux.

Tête vert of course

Qu'est ce qu'on peut refuser à une femme qui vous propose du café chaud ?

Sa démission ?