Tu vois, tu tombes déjà dans la vanne early-internet. Y a plus rien de stylisé quand tu te souviens de l'odeur de mon urine sur ton cou.
T'étais arrivé avec tes gros sabots de "vanneur respecté" sur le oik, tu chiais sur tout le monde avec cette malaisance caractéristique - moi j'm'en foutais, qui c'est ce gogol - tout l'monde était là "waaaa Orriz sur le oik, enfin :'D", tu paradais...
Et je t'avais chié dessus de la même manière pour te pousser dans tes retranchements, IMMEDIATEMENT t'avais fait tombé le personnage "non mais c'est pour RIRE :'O On est sur internet, faut pas se prendre au sérieux, vraiment si y en a qui comprenne pas mon délire, ça me peine :'O".
Bordel à cul, quelle fiotte.
Pisse dans ton cou, "ça c'est fait", j'avais définitivement compris ton insignifiance.
Ta récente trouille du fascisme et tes excuses langue-sur-le-carrelage ont achevé de t'établir en lopette qui s'invente une colonne vertébrale.
Les faux dur du net.
Ablette dans un costume trop grand.
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