On s'en fout d'Assad, ce qui est reproché à Amnesty dans la couverture informationnelle de la Syrie c'est d'avoir relayé aveuglément la propagande de l'OTAN (elle est loin d'être la seule).
Il suffit de lire la "Vue d'ensemble" proposée par l'ONG sur ce pays :
https://www.amnesty.org/fr/countries/middle-east-and-north-africa/syri...
Dans le cas des gilets jaunes il s'avère :
1) Que ce qu'elle rapporte est confirmé par de multiples sources.
2) Qu'il n'y a pas de controverse quand aux acteurs qui se trouvent derrière les violences : en Syrie les attaques chimiques sont attribuées à l'armée régulière pour certains, aux terroristes pour d'autres, alors qu'en France tout le monde reconnaît que ce sont bien les forces de l'ordre qui sont les auteurs des faits incriminés.
3) Qu'il n'y a pas de structure politique identifiable qui cherche à travers les gilets jaunes à propager un message ou un autre, alors qu'en Syrie les diplomaties de l'OTAN ont appelé au renversement par les armes du gouvernement.