ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

Légende
La Bouquinerie du Oik
le 16/11/2002 12:54
Avis à tous les Magicvillois qui lachent de temps en temps leurs cartes ou leur machine pour se plonger dans un bon bouquin : LA BOUQUINERIE DU OIK ouvre ses pages !

Vu que j'passe mon temps entre bécanne et bouquins (j'm'occupe d'un espace multimédia en bibliothèque) je vous propose d'échanger avis & lectures sur ce forum

PS : j'me spécialise en SF, fantasy, et fantastique, et j'suis un grand amateur de BD

El PAco à vot' service.
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huguesparri
St Gely du Fesc (34)

Légende
HP
le 04/05/2011 15:13
Hewlett Packard?

Ah non, merde, c'est moi :s
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

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HP ?
le 10/05/2011 10:25
on peut aussi y finir si on continue comme ça...
Outer Spaceways Inc

le 10/05/2011 19:32
C'est trop serré, c'est trop serrééé!!!
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

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BD...
le 17/05/2011 11:57
"Vathek" de Patrick Mallet

Jusque là emballé par les différents albums de cette très bonne collection "carrément BD" de chez Glénat, j'ai un peu tiqué sur celui-ci pour un truc tout con : les yeux de merlan frits dont sont affublés les personnages de cette BD (Qui m'a parlé de merlans, mais qui m'a parlé de merlans frits... ???).
Non mais franchement, "tout" est bon dans cette BD. Le format de la collection est pleinement exploité ; Patrick Mallet joue avec virtuosité des libertés qui lui sont ainsi allouées pour composer avec des découpages recherchés ; le trait est maîtrisé, dynamique, expressif et colle parfaitement à l'histoire ; les couleurs de Laurence Croix sont chaudes et bien choisies pour coller au récit ; l'adaptation du texte de William Beckford est bonne et la narration fluide... Reste ces yeux ridicules qui m'ont gâchés une partie du plaisir de cette lecture...

Et c'est vraiment dommage, car le travail fait est remarquable, et ce conte oriental cruel à souhait est composé d'une galerie de terribles personnages : la soif de pouvoir et de richesse balaie tout sur son passage. Mais tout à un prix...

Alors, pour ceux qui pourront faire abstraction de ces yeux éteints en forme de bouton de chemise, le plaisir sera au rendez-vous... Pour les autres, vous êtes prévenus, mais persévérez, cette BD vaut tout de même un bon détour pour toutes ses autres qualités.

PS : Faites moi penser à rappeler à Patrick Mallet qu'on dit que le regard est le miroir de l'âme... Avec un récit tel que celui-là, c'est d'autant plus regrettable...
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

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BD...
le 20/05/2011 10:35
- Captain Perfect de Lorenzo Diaz chez Soleil

Oulahalala... Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ?

Autant j'ai une certaine propension à apprécier les OVNIS et les trucs qui sortent un peu de l'ordinaire, mais là on bas des (tristes) records...
On se demande déjà à qui s'adresse cette BD ?
Des ados/adultes ? Dans ce cas le graphisme n'est pas vraiment adapté. En plus il est mauvais et fait mal à la tête ! C'est quoi ces floutages informatiques saturés pour donner cette impression de vitesse ?! J'ai rien contre la peinture impressionniste, mais quand c'est beau, fait au pinceau et pas informatiquement dans un pseudo comic book qui se voudrait comique en prime !
A un public jeunesse ? Il faudra alors m'expliquer ce que viens faire le gras, le graveleux, le lourd, le gore et le cradingue dans une BD jeune public. On n'est même plus dans le pipi caca façon Bigard que peux offrir un "Titeuf" en mal d'inspiration...

Bref, "Captain Perfect" ? Un catalogue parfait de tout ce qu'il me semble nécessaire d'éviter en BD jeunesse.


- "Le Bar du vieux Français" de Denis Lapiere et Jean-Philippe Stassen, collection Aire Libre de chez Dupuis

C'est en faisant le ménage dans mes rayonnages BD que je suis retombé sur cette série qui m'avait déjà beaucoup plu et marqué il y a quelques années.

"Le bar du vieux français" est sans doute une des meilleures BD d'amour. Non pas de l'amour mièvre et flagorneur tissé de fils blancs et de broderies rose bonbon, mais celui qui est dur, qui fait souffrir, qui se mérite et qui donne lieu à ces moments magiques qui vous marquent à vif et à vie.
Car nos deux jeunes protagonistes ont avant leur réunion un lourd bagage à supporter. Que ce soit la fuite d'un cocon familial et traditionnel trop dur à supporter ou la culpabilité qui s'en suit après des événements tragiques, leur parcours et leur rencontre fortuite dans un lieu improbable, ajoute à l'intensité de ce rendez-vous. Tout était fait pour que rien ne les réunisse et pourtant... pourtant on ne saura jamais : la fin ouverte qui nous est proposée est tout simplement géniale.
Ajoutez à cela un troisième personnage qui fera le lien entre nos deux amants, perdu dans un bar paumé en plein désert, et vous avez votre décor et votre conteur. Cette sorte de griot blanc est le véritable passeur d'histoire de ce diptyque. Petit phare du désert, cet îlot attire tous les voyageurs de passage à qui il se fait une joie de raconter. Raconter tout et n'importe quoi, mais surtout raconter Leïla. Raconter Célestin. Passerelle entre ces deux êtres, passerelle entre deux continents qui se croisent au fin fond du désert, ce "vieux français" si important pour tous y laissera pourtant des plumes...

Et pour assoir ce récit magnifique composé par Denis Lapiere, Jean-Philippe Stassen est d'une efficacité redoutable. Son trait épais mais d'une précision remarquable combiné à sa palette de couleurs franches et tranchées, donnent à cette série une chaleur et une intensité profonde. Certaines planches sont tout simplement magiques !

Alors, à tous ceux qui ne connaitraient pas cette série et qui auraient l'occasion de tomber dessus, je dis : ne passez pas à côté ! C'est une rencontre à ne pas manquer.
coincoincoin

le 07/06/2011 15:33
f'sait un moment que j'avais pas posé les palmes ici. Question lecture, j'en suis resté à "blast" de larcenet, un peu psyché mais bien foutu ou comment une descente aux enfers devient un retour aux sources. merci à goo pour l'achat.

J'ai fini murena, je trouve que le dernier tome part en peau de saucisson. mais bon, le saucisson, c'est bon (du moins sans la peau).

enfin, en shonen basique, j'ai repris bleach dont j'apprécie particulièrement le graphisme.

***ccc : lit beaucoup moins avec civilization V dans le pc***
Presque-rien, Je ne sais quoi

Légende
le 07/06/2011 22:00
CRASH, de JAMES G. BALLARD

ça bute, ce roman, putain
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

Légende
CCC
le 10/06/2011 11:20
Citation :
***ccc : lit beaucoup moins avec civilization V dans le pc***

^^ moi je viens de tomber sur Titan Quest... pareil ça te fout de ces failles spatiotemporelles dans la gueule ce genre de truc...

Mais bon, quelques très bonnes pioches quand même, dont l'auteur italien Sergio Toppi avec "Tanka" sur le Japon médiéval et "Sharaz-De", ou une vision très sombre des contes des Mille et unes nuits.

C'est avec cet album ("Tanka") que je découvre (enfin !) Toppi. Et quelle claque !
Tous les ingrédients de ce que je peux apprécier dans une production artistique sont ici réunis : le rêve quoi !

J'ai un penchant pour les récits asiatiques, et Toppi ne semble pas en reste. Mon bonheur, c'est que môôôssieur est partageur, et n'est pas avar de son talent pour nous en faire profiter ! C'est sous la forme de quatre récits indépendants qu'il nous livre sa vision d'un magnifique Japon médiéval et fantastique. Moi qui ne suis pas forcément un adepte du format "nouvelle", j'avoue être tombé sous le charme du travail de notre italien.

C'est déconcertant de beauté et de justesse dans l'agencement et la composition des pages. Son trait unique et reconnaissable entre tous, est d'une élégance et d'une créativité comme rarement on en croise dans une vie de lecture. Tout y est posé en contrastes, le noir et le blanc bien sûr, mais également dans les rapports des personnages, dans la taille de leur représentation, dans les planches mêlant savamment un trait fin et réaliste à l'abstrait rappelant par certains côtés le talent pictural d'un Klimt. Courbes et lignes se livrent un combat tortueux mais majestueux pour agencer des planches tout simplement envoutantes, le tout avec une grande fluidité... Stupéfiant !

Alors, si comme moi jusqu'à peu, Toppi n’évoquait rien ni personne en particulier c'est que vous êtes un heureux VEINARD ! Votre horizon n'est pas bouché, et cela prouve qu'il y a encore de merveilleux trésors et des perles étincelantes à aller pêcher de-ci de-là, au gré de vos lectures et des conseils que vous pourrez glaner. Car c'est grâce à BDT que j'ai découvert Toppi en survolant les forums... La curiosité ne sera pour moi jamais un vilain défaut !

Alors, encore chapeau Mr Toppi pour la qualité de votre travail, et bienvenue dans le petit panthéon de mes œuvres "cultes", par le biais de ce magnifique album qu'est "Tanka".


Baurd Maul, Happy locktober

La brigade chimérique.
le 10/06/2011 11:55
Je viens de finir le tome 1 de la brigade chimérique. Bande dessinée francophone se targuant d'avoir inventé le style Radiumpunk (Steampunk mais en plus radioactif.

La série raconte la disparition de surhommes européens (Comme des super héros mais avec des chapeaux melons et de superbes moustaches), héros des romans feuilletons du début du siècle précédent.

On yretrouve harry dickson, le célèbre détéctive, Félifax, héros de romans datant de 1929/30, François Dutilleuil, héros de la nouvelle : Le passe muraille, Léo st clair, alial le nyctalope créé par Jean de la Hire (Feuilletonniste de l'époque)Et même superman, qui à l'époque était connu sous le nom de MR steele.

La situation géopolitique de la BD est à peu de choses près la même que celle de la fin des années 30, si ce n'est quelle est romancée.

A titre d'exemple, le communisme, dont le fer de lance est le parti russe : Nous autres qui ont mis fin à l'ère de la magie en tuant raspoutine est dirigé par des scientifiques masqués aux ordres d'un robot géant aux superbes bacchantes rappelant celle du Petit Père des Peuples nommé Le Grand Frère. Franco, quand à lui est incarné par La phalange, Super vilain aux pouvoirs incandescents, qui lui-même est confronté au partisan, mysterieux héros sans pouvoirs.

Le tome 1 comporte 2 chapitres. Bien qu'il ne s'y passe pas grand chose, on se rends vite compte qu'ils servent surtout à mettre en place l'univers. Qui est qui? Qui veut quoi? L'intrigue se mets en place lentement mais sûrement et j'ai déjà hâte de lire la suite.

Le graphisme est un peu surprenant, mêlant dessins très détaillés et scènes presque esquissées ce qui donne un petit plus à l’œuvre.

Ne serais-ce que grâce à son univers, la brigade chimérique est une excellente lecture, bien que Son seul véritable défaut ne soit pas des moindres : En effet, 11 euros pour une 50 aine de pages même pas A4, c'est franchement cher. Heureusement, si vous avez comme moi la chance d'avoir des amis qui peuvent vous les prêter, n'hésitez pas, fonçez.
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

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bordmol
le 10/06/2011 12:54
je ne peux que te conseiller la lecture de cette excellente série... Et puis : l'éditeur est Nantais, je connais bien le directeur de la collection Flambant 9, j'adore la bonne SF, j'adore Gess (ba oui, c'est aussi lui qui dans un autre registre a dessiné jusqu'à il y a peu "Carmen Mc Callum", une de mes héroïnes préférées.
J'ai d'ailleurs rencontré Gess et le scénariste Fabrice Colin, y a quelques moi, à l'occasion d'un débat sur la SF. Très intéressants, les loustics sont assez prolixes et très intéressants à écouter !
Baurd Maul, Happy locktober

le 10/06/2011 15:36
J4ai déja acheté l'encyclopédie chimérique, c'est le bouquin de jeu de rôle se déroulant dans l'univers de la brigade. il y à énormément de détails sur pairs et les autres capitales européennes et le jeu en lui-même est génial. (D'ailleurs c'est en y jouant que j'ai eu envie de lire.)
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

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Nausicaa...
le 30/06/2011 9:20
Nausicaä de la vallée du vent de Miyazaki


Voilà ! C'est fait ! J'ai ENFIN pris le temps de lire ce manga qui me nargue du haut de ses sept tomes depuis trois ans dans mes rayonnages. Et quelle fresque !

Alors oui, il faut de la volonté pour s'attaquer à ce monument de la BD. Oui, il faut parfois de la ténacité pour ne pas décrocher. Mais le jeu en vaut vraiment le coup tant l'univers composé par Miyazaki est riche, original et complet.
S'il est vrai que son coup de crayon peut sembler un peu daté, c'est plus à mon sens à cause de l'empreinte qu'il a laissée dans l'univers de l'animé et du manga et qui nous rappelle l'immense talent de cet auteur. Même si tout talent n'est pas exempt de "menus défauts"...

Car les aventures de Nausicaä, dignes du périple d'un Ulysse et de son odyssée, trainent parfois en longueur et en circonvolutions (Ah, on me souffle dans l'oreillette que Nausicaä est véritablement un personnage de l'Odyssée qui manque d'épouser Ulysse...). Ajoutez à cela des personnages bavards, et vous comprendrez rapidement que la lecture de ces sept tomes demande du temps, au risque de décourager certains lecteurs. Mais courage, compagnons d'errance ! Si le voyage est parsemé d'embuches, il n'en reste pas moins inoubliable.
Pour en finir avec ces remarques, j'ajouterai que le trait si particulier de Miyazaki est parfois un peu confus. Ce n'est pas tant sur les scènes d'action que cela m'a gêné mais bien plus sur la ressemblance de certains personnages. Mettez leur des uniformes ou des armures, et on a parfois du mal à savoir qui fait quoi.

Mais sorti de ces défauts, Miyazaki nous peint une fresque titanesque, où la richesse de son univers et la complexité de ses personnages sont remarquables ! Rien n'est figé. La roue du cycle de la vie est ici en marche... incluant la courte mémoire de l'humanité. La connerie humaine dans toute sa splendeur. Et ce ne sont pas les récents événements de Fukushima qui me contrediront. L'oeuvre de Miyazaki n'en résonne pas moins de façon prémonitoire sur notre capacité à nous autodétruire et à saccager notre environnement.

"Nausicaä de la vallée du vent" se révèle au final une oeuvre riche et plus complexe qu'il n'y parait. Sa réputation n'est pas usurpée et je ne peux que vous en conseiller chaudement la lecture !
Arthis
le 30/06/2011 14:04
On y retrouve les deux passions de Miyazaki : l'aviation et l'écologie.

Le thème est bien développé et tout le long, on en apprend un peu plus sur l'histoire de l'univers de cette princesse.

Il faut préciser à ceux qui ont vu l'animé que le mana est très différents malgré quelques points communs ^^
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

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BD...
le 13/07/2011 14:46
Le Dernier Cosmonaute d'Aurélien Maury chez l'aditeur lyonnais Tanibis.

C'est sur les conseils d'une connaissance que j'ai fait l'acquisition de cet album, et je suis loin de le regretter !

Première bonne surprise : bel objet ! En effet, un format à l'italienne original, une couverture attrayante, un papier de qualité et au premier feuilletage, le graphisme de cette BD me plait. Tout s'annonce pour le mieux, reste à découvrir la bête en profondeur.

Et l'essai est plus que transformé pour ce qui me concerne. Graphiquement tout d'abord, ce premier album d'Aurélien Maury est impressionnant de qualité. Son trait simple, tout en ligne claire, rehaussé par une palette de couleurs magnifiques m'a conquis rapidement. Ajoutez à ce coup de patte un véritable travail de composition et des pages audacieuses (pleine page, pleine double page, page noire, triptyque de vignettes sur une page...) et vous sortez de votre lecture impressionné par le talent de cet auteur.

Le récit est aussi intéressant. Maury traite de ce difficile moment de transition entre l'âge adulte et l'enfance. Avancer dans la vie se fait au prix de sacrifices et/ou de renoncements qui nous permettent de construire d'autres choses.
Larry en fait ici la difficile expérience, surtout que ce n'est pas la moitié d'un empoté. C'est par ailleurs peut-être une des seules choses qui m'ait un peu déplu dans cette BD. On a envie de lui foutre des coups de pied au cul au Larry tellement il est con-con avec sa Alice.
La narration qu'impose Maury de par le format et la composition de ses planches est parfaite. On se laisse porter par cette tranche de vie et ces personnages pourtant banals. Je note l'originalité du nounours à la clope de Larry, qui lui fait office de conscience : j'ai adoré !

Au final, cette BD m'a vraiment emballé, surtout par la qualité de son travail graphique. L'histoire est sympa, le thème abordé intéressant et bien traité, même si certaines allégories sont parfois un peu grosses et le personnage de Larry un brin énervant.
Un premier album TRES réussi et qui espérons-le n'est que le premier d'une longue série.
cari94
Sexy Sushi,
a Lire Absolument:
le 13/07/2011 15:31
L'Instinct De Mort - Jacques Mesrine - 1977 - Autobiographie

Résumé

A la suite de la mort étrange de ses parents, le bébé Harry Potter est amené en moto volante par le géant Hagrid devant la maison des Dursley, son oncle et sa tante..

Deux mystérieux personnages rôdent aux abords de Privet Drive : le professeur Albus Dumbledore et le professeur Minerva Mac Gonagall qui était apparu quelques minutes auparavant sous la forme d'un chat.

Les jours précédents des phénomènes bizarres ont été constatés : des vols de hiboux en plein jour, des pluies d'étoiles filantes... De plus, on a vu en ville d'étranges personnages vêtus de grandes capes violettes.

Harry Potter grandit. Il est malheureux chez son oncle et sa tante qui ne l'aiment pas. Il est tyrannisé par Dudley, le fils infect des Dursley, et sa bande dont le jeu favori est la chasse au Harry.

Dix années passent...

Le jour de ses 11 ans, Harry apprend de la bouche du géant Hagrid venu le récupérer auprès de la famille Dursley qu'il est le fils de sorciers tués par le représentant des forces du Mal, le terrible Voldemort, le jour de Halloween. Voldemort a également essayé de tuer Harry, âgé de 1 an, mais il n'a pas réussi dans son entreprise. Seul Harry a pu résister au mauvais sort lancé contre la famille Potter. L'éclair sur le front n'est pas une blessure ordinaire : elle est le résultat du combat entre Voldemort et Harry. Cette blessure en forme d'éclair est le signe vivant de l'échec de Voldemort.

Enfin Harry peut partir au collège de Poudlard, l'école des sorciers. Il prend le train magique à la gare de King's Cross sur la voie 9 3/4, une voie que seuls les sorciers sont capables d'emprunter.

Bien qu'au collège de Poudlard la discipline soit très stricte, on y apprend des choses passionnantes : le pilotage des balais de sorcier, le jeu de quidditch, etc. Harry se révèle un sorcier très doué. Il se fait des amis : Ron et Hermione. Mais il doit également affronter le terrible Voldemort qui est de retour...

La première année, à Poudlard se termine... Harry retourne chez Les Dursley pour les vacances d'été, mais ce n'est plus le petit garçon qui se laissait battre par son cousin Dudley :

" Je crois que je vais bien m'amuser avec Dudley cet été..." dit Harry à la fin du livre.
kricheck2001
Meditative Mind
Pégase
le 13/07/2011 18:47
j ai recommencé a lire "ça" de Stephen King et j adore toujours autant le style de l auteur :p
Eaque

le 15/07/2011 23:05
Carrément
Pour ma part j'attaque un grand classique de king, Simetierre, qui fait bien bader =)
kricheck2001
Meditative Mind
Pégase
le 24/07/2011 18:08
allé hop j enchaine direct sur "la faim du tigre" de René Barjavel essai sur le sens de la Vie et sur Dieu j adore <3 <3<3
ElPAco
Poivrot MasterZ, Bookiniste du Oik

Légende
grrinnnn...
le 16/08/2011 9:40
... allez ! On dépoussière et on repart pour de nouvelles aventures...
Mathurin
les aventures de mathurin
le 16/08/2011 10:39
plop, cette été j'ai lût des bons livres:
les +:
Stan Nicholls : la trilogie ORCS = très rigolote, asse fluide et l'histoire derrière est... détonante, baston plus forte que dans la sage des tueurs de warhammer, même si moins fun.
Don Miguel Ruiz: Les quatre accord toltèque = Pour un bouq de dev personnelle, je recommande, simple clair et utile, réellement classe même si beaucoup d'idée à moitié religieuse (à moitié uniquement).
Dune 4: rien à dire, normal.

les -:
Daniel Goleman: L'intelligence émotionnelle= utile, intéressant, mais tellement long... et manque cruel de détail, d'image,de conseil clair, de pensée générale sur certains domaines physio/psycho qui font que le livre est trop gros, et pourtant pas asse. Intelligent et barbant. Uniquement pour ceux intéresser par de la réflexion.
Patrick Rothfuss: Le nom du vent) trop lourd, j'ai pas fini!
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