Légende
amateur de poesie bonsoir
le 02/09/2007 16:44
Vous etes ici sur le topic de poésie

Venez ecrire ici vos plus belles poésies que vous ayez ecrite

Moi personnellement, je suis fan de poesié et j'en ecris depuis que je suis tout petit

Voila dc un des mes poemes qui etait destiné a la seule personne que j'ai jamais aimé et que j'aimerai toujours c'est a dire mon ex copine (malheureusement)


il y a maintenant huit mois
que tu es resté près de moi
le chemin a été trop long
nous avons pourtant résisté
mais il a fini par ceder
sous bien trop de confrontation
ce que j'ai toujours redouté
a bien fini par arriver
l'amitié a bien subsisté
mais l'malaise sera toujours là
il attends, il se devoilra
c'jour là, les ponts seront coupés
le chemin aura disparu
il faudra que l'amour se tue
pour le moment il veut résister
mais là, tout espoir est perdu
je le savais dès le debut
l'espoir fait vivre au debut mais il faut le tuer a la fin
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eths

le 08/12/2007 20:01
prout

ça va bien avec le titre du topic :p
Semiramis
J'<3 mokliv2
le 09/01/2008 12:27
Continent noir

Le soir tombe. Un vieillard découpe lentement
Pour ses enfants un pain de mil et de manioc
Tandis que du marais s'élèvent les "nioc! nioc!"
Des canards africains qui parlent en verlan.
Sitem
Dédaine de l'est, Groland
Merssi ami
le 11/03/2008 14:20
Au commencement, infimes poussières,
Nous étions légions, mes frères.
Dans la course cosmique, je vous ai devancés,
Ce premier combat, je l’ai remporté.

Mon astrolabe est en panne.
Seul dans l’aube diaphane,
Seul au crépuscule
Vers la lumière, je recule.

Obscurité de l’enfance,
Eclairant l’ignorance
Des étoiles m’ont guidé
Dédale de la vie ou je t’ai croisé.

Une lumière, un pendule.
Seul dans le crépuscule

Prés de toi je suis resté
A doucement me consumer.
Tel Icare j’ai failli me brûler
Le voyage j’ai continué.

Seul dans l’aube diaphane.
Mon astrolabe est en panne.

Tu as l’éclat très particulier
De celle que l’on veut aimer,
Garder pour soi enfermée.
Mais quelle âme peut supporter
Une lueur d’une telle intensité ?
Je te laisse encore briller.

Seul dans le crépuscule
Vers la lumière, je recule.

Que Raphaêl me vienne en aide !
Des navigateurs, la cause il plaide
Auprès du but de ce voyage infernal.
Je continue ma quête vers un vide astral,
La destination de tous, je sais c’est banal.
Quand j’atteindrai mon but, trou noir sidéral
Je reposerai en paix en pensant à toi mon étoile.


serraangel
le 11/03/2008 14:55
coucou Sitem! j'ai toujours autant de plaisir à te lire!
j'espère que pour toi tout baigne à nouveau, donne nous des nouvelles de temps en temps ! Et avant de reposer en paix il te reste plein de choses à faire encore!

Légende
youpi
le 23/03/2008 23:14
ca fait plaisir que des personnes viennent rajouter des poemes de temps en temps !!!! A mon tour maintenant, il parle de moi de me amis ... dc il y a des passages que seul mes amis peuvent comprendre

Mort depuis déja longtemps dans cette rue
Je me réveille, j'ouvre a nouveaux les yeux
Je suis dans ma tombe, celle du silence
Cell' que j'ai creusé de mes propres mains
Je remonte peu à peu à la surface
Je gratte toute cett' terre qui m'a détruit


Ca y est, je respire, je m'en suis sortit
Je vois tant de visages, toutes ces faces
Tous me sourient et mon ame me revient
Ces regards si familiers, sans violence
Ils sont tous là, les anges de mes cieux
Lucie, ma famille, mes scwheppes sont sont venus


Lucie en première, vient à ma venue
Elle qui a su changer ma vie en mieux
Si parfaite avec son amour intense
Si belle quand on s'embrasse main dans la main
Si fragile à mes yeux quand le temps passe
C'est à elle enfin, que je dis merci


Mes schweppes suivent ensuite ma petite amie
C'est grace à eux que j'ai su leur faire face
Avec ces trois là, je me sens si bien
Sacha, qui panse les blessures qui me lancent
Elodie ma confidente aux yeux bleus
Paoline, l'amie aux cheveux perdus (lol)


Ma famille, celle à qui j'en ai voulu
Clot cette assemblée qui fut mon seul voeu
Celle là même qui ne sut voir mon absence
Se présente aujourd'hui à moi, ..... en vain
J'ai su pardonner que ma vie se casse
Mais je fus seul quand je l'ai reconstruit

C'est déja trop tard, le reve est fini
Tout n'était qu'illusions qui se ressassent
Je suis toujours dans ce cercueil malsain
Et j'ai bien perdu cette dernière chance
Celle de me relever avec eux
Tu ne me voulais plus, ... je ne suis plus

Tout les amours prient, aucun ne survit
Tout les anges passent, aucun ne s'enlace
Tout les coeurs sont fins, aucun ne revient
Tout les mots se pensent, aucun n'a de sens
Tout les rêves sont bleus, aucun ne se peut
Tous sont biens venus , aucun ne s'y est plût



Voili voilou


PS : J'ai très apprecié ton poeme sitem !!! Merci d'avoir rappelé ce topic lol xd
Sitem
Dédaine de l'est, Groland
Dixy
le 31/03/2008 13:28
Quand je te lis , je me sens ado malgré mes 35 ans...

Légende
Sitem
le 02/04/2008 15:24
merci, c'est peut-être parce que je suis un ado que mes poèmes donnent cet impression en tout ca me fait plaisir de faire rajeunir le monde lol

si écrire faisait vivre, on serait tous éternels !

Légende
Remis au goût du jour
le 02/05/2008 18:44
Ecouter son coeur, ce qu'Il nous dit
Pour pas s'en vouloir toute la vie
Ecouter son coeur, ce qu'Il chuchote
Sa voix est faible mais surtout sans faute
Ecouter son coeur, ce qu'Il t'avoue
Il ne te ment pas, lui n'est pas fou
Ecouter son coeur, ce qu'Il espère
Entends ses douces plaintes, laisse le faire


Ignore la raison, ce qu'Elle désire
Elle ne souhaite qu'une chose, c'est te détruire
Ignore la raison, ce qu'Elle attend
Enfuis toi loin d'Elle, ou perds ton sang
Ignore la raison, ce qu'Elle fourvoie
Elle propage tes doutes, et lance des pourquoi

SangtiMENTal en quoi ? Et pour qui ?
Tu veux qu'Elle revienne mais tu oublie
Elle veut plus de toi, Elle te la dit
SangtiMENTal en quoi ? Et pour qui ?

Ta fin se rapproche, l'as tu compris ?
Tu veux t'arrêter ? Prendre un répit ?
SangtiMENTal en quoi ? Et pour qui ?

Ignore la raison ? Ecoute ton coeur ?
A quoi ça sert ? C'est ça le bonheur ?

SangtiMENTal en quoi ? Et pour qui ?

Légende
dixy
le 02/05/2008 19:38
Citation :
si écrire faisait vivre, on serait tous éternels !


Peux-tu expliciter ça, s'il te plait ?

Légende
canard99
le 02/05/2008 20:02
Ca a aucun rapport avec le sujet initial. C'est juste une phrase que ma copine arrete pas de me rabacher parce qu'on adore tout les deux ecrire donc voila je venais surement de la voir quand j'ai ecris ça xd
aramilamastacia
MARSEILLE, FRANCE
le 24/05/2008 20:33
amateur de poeme en prose je vais essayer de retrouver les miens mais surtout continuez a poster car cela fait plaisir de voir que l'on n'est pas la seule personne a aimer le beau dans un univers de magic bien trop souvent qualifier de pueril


PS desolé pour les faute d'ortographes j'ai le maleur d'etre afliger de dysgraphie couplé aun aprentissage de la lecture par méthode global ayant detruit mon sens de l'ortographe et de la ponctuation

Légende
aramilamastacia
le 25/05/2008 2:56
Ne t'inquiète pas pour les fautes le plus importantc'est le sens que l'on donne aux mots


P.S : tu est vraiment atteint de dysgraphie ? Mais je ne vois pas le rapport avec l'ecriture sur l'ordianteur
serraangel
le 30/05/2008 10:55
Tu as faim de savoir
faim de grandir
faim de connaître
faim de voler...

Il se peut que je sois
aujourd'hui le sein
qui te donne le lait
et apaise ta faim ...

Il me paraît formidable que
tu veuilles prendre ce sein aujourd'hui.
Mais n'oulie jamais une chose :
ce n'est pas le sein qui t'alimente...


C'est le lait!
Sitem
Dédaine de l'est, Groland
le 30/05/2008 12:31
Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
paupiette
ANGOULÊME, France
le 02/06/2008 20:36
"Vers un nouvel horizon…

L’aube apparaît à l’horizon
Alors prends ma main et mon cœur
Et traversons ensemble les âges de cette vie détestable

Mon amour, nous devons partir
Partir loin du doute et de l’ennui
Même si c’est loin de nos rêves et nos envies
Partir pour fuir cette route toute tracée
Ce destin maudit
Réinventons nos rires et nos désirs loin de toute cette habitude
Partir pour trouver la lumière à travers ce brouillard
Et ne pas se perdre l’un à l’autre
Mon amour, écrivons chaque jour une nouvelle page
Pour que nos souvenirs subsistent à nos sentiments
Pour que ce temps soit figé
Emprisonnons le entre nos lèvres
Montrons lui, mon amour
Que notre mortalité vaut toute son immortalité
Et au hasard de nos sourires et de nos espoirs
Nous retrouverons l’éclat du soleil
Le bonheur prendra possession de nos âmes
Et nous rendra ivre de nos chimères
Et alors, mon amour,
La vie sera le plus fabuleux de tous les périples

Puis la nuit s’élèvera dans cet horizon
Et la mort prendra ton odeur, ta peau, ton corps
Elle t’emportera vers un autre voyage
Mais ne crains rien mon amour
Car bientôt je te rejoindrai
Et dans toute cette morbidité
Je te prendrai la main
Et alors le temps deviendra le plus faible des mortels…"

Légende
Dehors
le 10/06/2008 16:37
Dehors,
il y a des fous qui font la sourde aurore, des songes trop tôt coupés en tranches, des abris de béton vides de ceux qui errent déjà, des portes qui baillent sur des dedans cariés et des courses de trottoir tête baissée et départ à plat lit.

Dehors,
il y a des trains de règles qui entrent en gare aux heures de bureau, des autobus affaissés qui posent sur le monde de longs regards blafards et des marées bien ordonnées qui jettent leurs paquets de jambes sur d’étroites plages horaires.

Dehors,
il y a de la vigilance dans l’air en morceau, des pannes de vie qui imposent l’asphyxie lente, des bouches plates qui écrasent des joues sèches, des parois vitrées qui s’ouvrent sans poussée, des femmes sans fond avec des yeux aveugles collés au rimmel.

Dehors,
il y a des alarmes de jour qui sonnent sur des nuits sans sommeil, des mains relavées dans l'ordinaire jusqu’à épluchage complet de toute douceur, des plateaux repas qui repassent en valse rance et des silences à souder les dents affamées.

Dehors
il y a des lèvres rouges comme des abcès durcis, des gouffres de stress où planent des zeppelins gonflés d’arrogance, des poissons phrases qui flottent dans des hygiaphones classifiés et des échographies de la dualité des ondes et des corps.

Dehors,
il y a des feuillets cryptographiques aux équations de braille jaunies, des mains sales qui pressent des mains douteuses, des numéros myopes en bas de page, des poussières douceâtres et fades, des retombées d'atomes perdus, des cimes illusoires, loin, loin, très loin de nos secousses orogéniques.


Alors restons couchés, veux-tu ? Abandonnons-nous au temps dévoreur de jours et de nuits. Prête-moi la fournaise de ta langue spirale qui accélère nos bouches. Donne ta langue au chat qui te poursuit. Donne-la moi, ta langue de feu follet. Touche mon haleine, mouille-toi tout entière dans mon étreinte, dénude-toi de ta peau électrique que la pluie n’humecte plus. Ruisselle, transpire, laisse-moi me glisser entre tes bras de velours mouillé et laper la moiteur des creux de ton corps. Rejoins le grain de ma peau de folie et raconte-moi encore une fois, dans les convulsions de mes hanches moulées contre les tiennes, la marche folle de tes fantaisies. Pour ça, ça et même sans ça, restons sous les draps du plaisir, encore une heure, un jour ou un siècle.
Folie
le 24/07/2008 14:16
Il faut,
aveugle de l'histoire à laquelle j'ai voulu croire, du fond de mes colères que j'adresse une prière!

Il faut,
que le temps me laisse le souvenir de ta voix qui me carresse chaque nuit dans mon sommeil, quand je te touche et que je te vois même si plus rien n'est pareil!

Il faut,
que le temps me répare, qu'il m'apprenne la force de croire à tout ce que je ne suis pas, sans toi!

Il faut,
que le temps me pardonne et surtout qu'il me donne l'envie de poursuivre sans toi, même dans l'ombre et le froid!

Il faut,
que le temps efface les milliers de traces que tu as laissées dans mon espace, qu'il change ce que je vois dans ma glace, fragile comme du verre qui casse et qui me glace d'effroi.

Il faut,
que le temps m'aide à changer, et qu'il t'aide à me pardonner, car le sort en est jeté sur les pages de notre passé.

Il faut,
que le temps conjugue au passé, c'est pas pour rien qu'on appelle ca l'imparfait, car j'ai en moi quelqu'un de moins depuis que j'ai lâché ta main!

Il faut,
je le sais maintenant! car je connais la douleur du temps quand il est sans lendemain et que les yeux ne voyent plus rien!

Il faut.....

Alors,
perdue dans mes espérances, même si je savais d'avance que les contes de fées n'existent qu'à la télé,
j'écris le dernier mot de l'histoire et la mer je peux même la boire s'il le faut,
mais au fond de moi je sais que même s'il le faut, même si le temps bâtit des murs, jamais il n'effacera rien, je te le jure!


Légende
le 24/07/2008 17:46
Wouahhh, depuis le début, je rencontre plein de style différent pour ecriré des poèmes. J'étais resté sur le classique rimes + syllabes mais certains d'entre vous vont bien plus loin et ca reste super beau à lire !! Bravo a tous !!!


Je me glisse derrière toi
Je veux juste t'aimer
Je ne veux voir que toi
Jamais t'oublier
Etre la quand ça va pas
Ne pas te quitter
Sentir ta peau contre moi
Tout recommencer
Te serrer dans mes bras
Reste à esperer
T'avoir rien que pour moi
Que tu peux m'aider


Secher les larmes dans tes yeux
Tu veux que tout soit fini ?
Etre encore là quand on sera vieux
Qu'on s'arrete sur un tant pis ?
Je voudrai juste qu'on soit heureux
On va être meilleurs amis ?
Près l'un de l'autre, cela se peut
Je vis pour mon utopie
Rien que toi et moi. Tout les deux
Je voudrai que toi aussi
Pourquoi ne pas croire en ce voeu ?


Pour mieux comprendre ce poème, une strophe en comporte deux qui sont mélangés entre elles.Chaque strophe comporte les mêmes rimes.
Folie
le 25/07/2008 10:29
C'est le prince qui se taille
et de l'histoire il ne reste
que l'innocente faille
et l'accord peu digeste

Juste une histoire de temps perdu
musique éphémère
une petite histoire de plus
faite de nos rires d'hier

Entre parenthèses, je vous le dis tout bas
ca passe par ca l'amour
un véritable combat
que chacun mène à son tour

On est pile à l'heure
presque nez à nez
et soudain l'erreur
on voit tout valser

alors on demande à la chance
si on a râté le bonheur?
était-on en avance ?
n'était-ce pas la bonne heure?

cette galette des rois
que chaque nuit en rêve
je croyais à moi
car j'en tirais la fève

Dans un pocker menteur
ayant pourtant dit la vérité
à la première lueur
je l'ai vu s'envoler

Et le malheur, le mien
fera le bonheur d'une autre
et le bonheur, le sien
fera mon malheur, entre autre









Folie
le 26/07/2008 17:00
L'héroïne de cette histoire
va peut être vous émouvoir
couchée là dans son peignoir
les veines pleines de désespoir

L'héroïne de ce roman
a espéré un moment
garder son bel amant
jusqu'à la nuit des temps

L'héroïne qu'était cette femme
dont l'âme, se trame, un gramme
lentement à perdu son âme
et n'a pas évité le drame

L'héroïne de cette réplique
pour oublier les hics
a trouvé la technique
elle se pique, elle se pique

L'héroïne de ce morceau
le moral à zéro
d'avancer en solo
s'est sentie de trop

L'héroïne en a fumé un dernier
sur le banc des délaissées
et a réussi à oublier
........................
Héroïne overdosée !!!!
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