Venez ecrire ici vos plus belles poésies que vous ayez ecrite
Moi personnellement, je suis fan de poesié et j'en ecris depuis que je suis tout petit
Voila dc un des mes poemes qui etait destiné a la seule personne que j'ai jamais aimé et que j'aimerai toujours c'est a dire mon ex copine (malheureusement)
il y a maintenant huit mois
que tu es resté près de moi
le chemin a été trop long
nous avons pourtant résisté
mais il a fini par ceder
sous bien trop de confrontation
ce que j'ai toujours redouté
a bien fini par arriver
l'amitié a bien subsisté
mais l'malaise sera toujours là
il attends, il se devoilra
c'jour là, les ponts seront coupés
le chemin aura disparu
il faudra que l'amour se tue
pour le moment il veut résister
mais là, tout espoir est perdu
je le savais dès le debut
l'espoir fait vivre au debut mais il faut le tuer a la fin
pour les fautes (c'est pas moi qui l'ai dit, c'est Murphy!!) ...je viens de voir ces dernières...je f'rai des efforts si j'en place un ou deux autres...
J'ai dit "on s'en fout" ;)
Ca change rien à la qualité d'un texte bien construit (jtrouve)
Outer Spaceways Inc
Mouais
le 03/09/2007 20:34
Vous fricotez vaguement avec la poésie, les djeunz... Avis d'un littéaire, après, ne m'aboyez pas dessus, mais je fréquente régulièrement Hugo et Rimbaud, et ces deux types sont très influents ^^
Surtout, ils sont très forts.
Personne ne remet en cause le talent des grands poêtes(tu fréquentes pas Baudelaire?).
Mais nous lire aprés eux c'est comme écouter Panthéra aprés Brel...isnt'it?
Un djeunz de 35 ans...^^
+1
Harry désormais est proche de gare de l'Est
Il saute les époques et les lieux pour un nouveau Far-West
Les saloons sont des bistrots, on y vent des clopes
Pas de la chique, du top ! Du CinémaScope
Il entre dans le bar commande un indien
Scalpe la mousse, boit, repose le verre sur le zinc
Presque-rien, Je ne sais quoi
Légende
le 03/09/2007 23:03
Distance
le vide gris
le vide bleu
l'espace entre mes mains
où tu n'es pas
d'où tu es partie
comme le vent
sifflante et libre
les vides creux
si plein de trop de choses
pour être entièrement vide
le creux de tes mains
emprisonné dans mon esprit
je te veux
contre moi mais avec toi
à travers les distances
par-delà les années
par-dessus les nuages
et dans nos âmes
et ma chair
meurtrie
de ne plus te connaître
et de t'avoir connue
la nuit froide et noire
noyée de mes larmes
versées en vain
pour toi qui n'entends pas
mes appels
mes cris
ma peine
la tienne
et puis plus rien
un néant gris
un néant bleu
comme l'océan
au fond de tes yeux
Matthieu Girard, Pour l'instant 14ième édition, recueil intercollégial de poésie, édition 2005-2006
J'aimerais me dire que rien ne presse
Et dans tes bras combler ma tristesse
Profiter de tes caresses
Prendre goût à la paresse
Les cheveux dans les étoiles
En une minute se faire la malle
Avoir la lune sous mes semelles
En moins de deux me faire la belle
Tu me joues "jeux interdits"
Et je me crois au paradis
J'essaie un rêve, je le rature
Je sens que monte ma température
J'aime l'envers du décor
Où nous jouons au corps-accord
Quand tu m'implores à genoux
Et que tu joues l'amoureux fou
Je connais le poids des larmes
Tu me laisse le choix des armes
Dans la prison de mon coeur
Ma peau à ton odeur
Je garde toujours une boussole pour revenir sur mes pas
Mais où que j'aille, tu es toujours avec moi
Et si je te ferme la porte de mon coeur
Tu restes à jamais mon âme-soeur
Je veux te protéger des pièges de la souffrance
Rester toujours de bois, face à tes avances
Je veux une place différente
Et dans ton coeur être toujours présente
Faire semblant d'être amoureux
Se laisser croire qu'on est heureux
Faire semblant d'avoir envie
De partager le même lit
Il faut se rendre à l'évidence
Qu'un jour plus rien n'aura d'importance
Ce jour là ne tirons pas sur l'ambulance
Mais soyons heureux d'avoir tenté notre chance
Je te laisserai une lettre
par lâcheté peut-être
Et dans mes courbes manuscrites
On effeuillera une dernière fois la marguerite
Et mes larmes en fuite
J'irai déconfite
Prendre un autre chemin
Vers un autre destin
Un corps sans vie...
Un coeur en attente...
Une décision à prendre!
L'espoir d'un seul mot
Ne pas perdre un instant
Donner le feu vert
Pour le plus grand moment
Offrir ce qu'on a de plus cher
Savourer cet instant
Espérer, attendre,
guérir, apprendre
et remercier, content
chaque jour, chaque instant
ce geste précieux
ce cadeau des cieux
qui laisse un bout de soi
à quelqu'un ici-bas!
Quo
le 04/09/2007 22:01
Plouc...cela peut être beau le son de la pluie tombe
....
à moins que ce ne soit mon évier qui fuit
J'viens de voir un vol d'oiseaux au soleil couchant ce soir
...
à moins que ce ne soit ma télévision
Hier, hier encore j'avais vingt ans
...
à moins que ce ne soit ma chaîne qui tourne
ce soir je vais mettre ma tenue d'apparat, on me remarquera
...
à moins que ce ne soit le premier chapître de ce bouquin
Mais pas de soucis, pas de crainte, je distingue l'être et le paraître...
...
à moins que ce ne soit moi...
Toi que j'ai rencontré par hasard
Je ne sais même pas pourquoi , c'est bizarre
Toi pour qui ma raison s'égare
Et avec qui je voudrais larguer les amarres!
J'aimerais rester près de toi immobile
Et dans tes bras toute fragile
Oublier les moments difficiles
Où j'avais les larmes aux cils
Passer quelques heures
de quiétude et de chaleur
Mettre du temps, du talent et du coeur
Oublier larmes, chagrin et douleur
Vivre chaque matin un fabuleux réveil
T'écouter me dire des mots qui m'émerveillent
Avoir des frissons, l'impression de toucher le ciel
Et voir enfin se déployer mes ailes
Y mettre mes forces et mon ardeur
Pour que nous ayons du bonheur
De nos vies être les acteurs
Et connaître tes répliques par coeur
Une fois la nuit tombée
Dans tes bras, fatiguée
Venir me faire bercer
Et oublier mon lourd secret
Avoir chaque nuit l'espoir de te revoir
Vaincre le vertige chaque soir
Oublier avec toi ce qu'est le désespoir
M'endormir dans tes bras en te disant bonsoir
Veiller sur ton sommeil
et tes trop longues veilles
T'éblouir comme le soleil
Avoir un goût de miel
Arrêter le monde et l'éternité
Ne plus appréhender et ne rien regretter
Et dans ma mémoire laisser à jamais gravée
Ta bouche à laquelle je me suis désaltérée!
mais je vous fais partager seulement certains de mes horizons parce que crois moi que si j'en exposais d'autres là ca risquerait de jeter un grand froid. Regarde hier dans les quelques lignes sur le don d'organes , j'ai trouvé que ca avait jeté un froid.
J'explore aussi ... plusieurs horizons, mais je sais aussi voir qui peut apprécier ces horizons là , et là j'ai un peu peur !!!
J'ai lu mais je n'avais pas saisi la métaphore désolé...
Je ne pense pas qu'il y ait eu un froid mais une rentrée scolaire peut etre?
"Les métaphores,
c'est pas mon fort
même si j'adore
ton corps en amphore.
Tu as passé ma tête
de veau à la moulinette.
J'suis jaloux du tripier
qui tripote ton coeur
d'artichaud sans arret
Sans toi je me meurs."