Légende
amateur de poesie bonsoir
le 02/09/2007 16:44
Vous etes ici sur le topic de poésie

Venez ecrire ici vos plus belles poésies que vous ayez ecrite

Moi personnellement, je suis fan de poesié et j'en ecris depuis que je suis tout petit

Voila dc un des mes poemes qui etait destiné a la seule personne que j'ai jamais aimé et que j'aimerai toujours c'est a dire mon ex copine (malheureusement)


il y a maintenant huit mois
que tu es resté près de moi
le chemin a été trop long
nous avons pourtant résisté
mais il a fini par ceder
sous bien trop de confrontation
ce que j'ai toujours redouté
a bien fini par arriver
l'amitié a bien subsisté
mais l'malaise sera toujours là
il attends, il se devoilra
c'jour là, les ponts seront coupés
le chemin aura disparu
il faudra que l'amour se tue
pour le moment il veut résister
mais là, tout espoir est perdu
je le savais dès le debut
l'espoir fait vivre au debut mais il faut le tuer a la fin
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Folie
le 28/07/2008 15:08
Les temps changent !

Tu te roulais dans l'herbe avec Alice
Moi je me roule mon canabis

Tu piquais un fou rire avec Madeleine
Moi je me pique les veines

Tu te consummais d'amour pour Anne
Moi je consumme mes gitanes

Tu envoyais des lettres à Charlotte
Moi je m'envoie en l'air sous capotes

Tu prenais le large avec Arthur
Moi je me prends des bitures

Tu organisais des week-end avec Annie
Moi j'organise des tournantes dans les caves à Paris

Tu faisais des heures sup pour gâter Caro
Moi je fais la manche dans le métro

Tu prenais la main à Maïté
Moi je prends de temps en temps une RTT

Tu as réussi ta vie avec Aurélie
Moi j'ai réussi à aller voir un psy

Tu as téléphoné à Isabelle
Moi j'ai envoyé des courriels

Tu t'es marié avec Maman
Moi je suis pacsé à Jonathan

Tu as pris ta retraite avec Laurette
Moi je me suis tiré une balle dans la tête

Légende
:o)
le 28/07/2008 15:34
Tu bois le thé avec Tasnim
Moi j'ai sorti mon dictionnaire de rimes
Folie
@:^)
le 28/07/2008 15:44
Non je bois du thé au jasmin
et d'un dictionnaire j'en n'ai pas besoin
Elite
alors, où sont les amateurs de poésie ?
le 13/01/2009 15:38
Je up ce topic car je me mets un peu à la poésie.

Voila un petit sonnet inspiré par l'actualité :


La scande de Gaza…

Pendant le jour, fumées et poussières se lèvent ;
La violence éclate sous un soleil de plomb,
Et les cœurs battent, au rythme des explosions,
Alors que d’autres, répandus sur le sol, crèvent…

La nuit, embrasée par un déluge de feu,
Gémie, pleure et se lamente, sous la géhenne ;
Chaque larme gorge les sillons de la haine,
Sur cette terre aride, ignorée de Dieu…

David saigne, meurtri par les coups de Goliath,
Les nouvelles plaies s’ajoutant aux vieux stigmates,
Car depuis des années mourant, seul, désarmé…

Hélas ! Aujourd’hui sont versés les sangs immondes
De l’innocence. Qui, éclaboussant le Monde,
L’empêche de garder ses vilains yeux fermés…
Chak98
le 02/12/2018 6:01
Famille nombreuse dans un 2 piece pourtant j'étais heureux dans ma tete
Plus la situation s'améliore et plus mon humeur se déteriore
A croire que je prenais conscience de mon passé
de cette jeunesse ou fallait pas grand chose pour me faire rigoler
Ca parlais de huissier mais moi je trouvais ça merveuilleux
rien dans les poches mais la tete plaine d'idée
plein d'espoir pour cette avenir de medecin ou de banquier
depuis ça a changer c'est pas le nombre de piece qui rend heureux
Le bonheur c'est dans la tete et je m'en rend compte en changent de lieux
plus je deviens vieux et plus je suis envieux
d'un passé radieux ou dormir par terre je trouvais ça luxueux
Depuis c'est la depression, il pleut au alentour de mes yeux
coincé dans l'anticyclone du malheur le cerveau defectueux
J'étais un élève studieux et presomptueux
j'avais des bonne note pour le 6ème de ma frateri d'rebeu
Ca me fesait sourire je me trouvais talentueux
maintenant pour sourire faut que j'en avale 72
Se faire mal est devenu un cercle vertueux
Le brossage devenu une drogue dur pour tout les glandeu
8h de cours infructeux je prefere leur dire adieu
J'apprend plus tout seul que dans ces bouquin écris par leur vieux
On cherche à avoir pour etre finalement sans se rendre compte de son mal etre
En attendant la prochaine dose qui me rendra mon bien etre
Je m'imagine que ce texte écris avec le coeur est mélodieux

rebelleo
France, Bretagne
le 06/03/2019 16:43
wow le topic tant attendu: je crois rêver!
que des écrivains doué (probablement sans avenir parce que quasiment plus personne ne lit de poésie =/ )!
attendez.... et merde j'arrive 10 ans trop tard... fait chier!!!
Bon: est ce que il y as des gens motivé pour reprendre ce topic? moi oui! Calimerro je me permet de t’appeler ainsi d’après mes calcule tu est onze ans après ta seconde donc.... tu as 26-27 ans....
nan plus sérieusement ce serait cool de poursuivre alors si il y a des gens intéressé...
Bon au risque de parler au mouette, je me lance:

De la mélancolie de la souffrance
et de l'arrogance de l'amour
je sombre dans la folie
d'une profonde dysharmonie
des paroles violentes pour un fond de vérité
une vérité pour un fond de mensonges
des mots blessants
pour affirmer l’étendue de mes doutes
par un lyrisme dramatique.

RIP V.HUGO j'ai éliminé les rimes...
Memo
Frederick Douglass
le 09/01/2020 14:13
A l'heure où les temps sont dévorés,
Par le mauvais côté de la conscience,
Au moment où les minorités acculées,
A leur oppression cherchent audience,
Du ventre de notre Histoire sombre,
Surgissent des êtres relevés d'espoir,
Hommes et femmes de la pénombre,
Pour changer son monde par le savoir,

Vous en êtes de cette digne lignée,
Un des plus beaux représentants,
Qui de votre récit en symbole porté,
S'envole la liberté comme un chant,
Il se dresse en totem de l'abnégation,
Un appel aux âmes non asservies,
Un pamphlet de la non résignation,
Qui résonne encore aujourd'hui,

La force et le pouvoir de l'éloquence,
A n'en pas douter la plus belle arme,
Bien que la réalité peut étouffer l'évidence,
Pour exhorter vos soeurs et frères d'âmes,
Vous avez mené un combat de mots,
Qui puisés dans le savoir et l'éducation,
S'élevaient comme de brûlants flambeaux,
Pour mettre à genoux cette domination,

Et si le talion n'était pas votre mention,
Briser leurs idéaux étaient votre religion,
Ouvrir les esprits, enflammer les coeurs,
Le faire était une question d'honneur,
De votre vertu de conscience,
Avez repoussé les portes de votre esprit,
Des roses aux couleurs de la résilience,
Ont éclo de votre bouche fleurie,

A la folie inhumaine, avec noblesse,
Vous l'avez dénoncée sans conteste,
En allant de façon systématique,
Dans les assemblées outre-Atlantique,
Là où est les coeurs y sont plus tendres,
Et les armures prêtes à se fendre,
Ainsi faire entendre de votre voix,
Les destins malheureux qui se noient,

J'aurais aimé être de vos compagnons,
De route, de ce temps, du devoir,
Qui se souciaient en regardant l'horizon,
De leur éducation en signes d'espoirs,
Et s'évader de leur condition exsangue,
Où nul homme aimerait se soumettre,
Pour parvenir de leur destin qui tangue,
A sortir de l'ombre par la fenêtre,

De précurseur à prédicateur,
La frontière n'est qu'une question de pas,
J'ose espérer avec la faiblesse du coeur,
Que le voile sur leurs yeux se lèvera,
Pour faire tomber de l'enfer ces murs,
Et révéler à notre espèce sa digne nature,
Aux noms de Martin, Nelson ou Obama,
Sans compter tous les autres ici-bas,
Ils ont fait des grandes minorités,
Du combat de leur vie, une petite majorité,
Puissiez-vous,
Depuis la lumière éternelle du couchant,
Puissiez-vous,
Entendre ces voix raviver la votre à présent,
Vous rassurer, Frederick Douglass,
Car malgré encore vos prières,
Venues jusqu'à nous d'outre tombe,
Votre nom est sorti de l'ombre,
Pour entrer dans la lumière.
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