Citation :
En tant que pragmatique latin notoire je considère que la délégation à l'État du monopole de la violence physique est essentielle, car elle fonde à condamner toute forme de justice punitive qui ne relève pas directement de l'État.
Bof, le monopole ça conduit aux abus. Je pense que les gens surestimes la violence physique, souvent c'est pas tant les coups et la douleur physique le problème, mais l'humiliation, et la fréquence de cette violence. Et aussi la disproportion des réactions violentes, l'escalade qui fini en arme et blessure grave, voir la mort.
Ce qu'il manque cruellement, c'est d'apprendre comment surmonter et cadrer cette violence physique. Je suis pour de la fermeté et de la discipline avec des punitions physiques de type corvée manuelle pénible. (comme l'armée quoi). Et pareil pour la violence verbale, avec cette fois une corvée "intellectuelle" pénible (te taper un reportage sur la fabrication des trombones et les implications économiques et sociales avec une dissertation à la fin pour voir si tu as suivis au quel cas tu recommences, et ça bien entendu sur tes heures de loisirs quand il fait beau).
Dans le rapport de violence physique ou pas il y a plusieurs statu, l'oppresseur, l'opprimé, l'intervenant et le spectateur (après y a des sous statu). J'ai été les quatre, surtout en primaire, et les sentiments que j'en garde c'est que j'ai plus honte d'avoir été spectateur et oppresseur que opprimé, quand à intervenant je le regrette parfois, car je me suis mangé des "dommages collatéraux" pour "rien", après je le fais pas pour quelques choses d'autres que la "justice", mais ça fait chier de se manger les coups mais pas la récompense alors que c'est un autre connard de lâche qui sera récompenser par sa lâcheté. (tout ça est très abstrait, et c'est normal, la flemme de donner des exemples).
Bref si vous voulez que cette violence diminue, vous allez devoir prendre sur vous et intervenir, même si ça vous coutera une bonne dose de patience et de résilience.
Pour résumer, il faut de la discipline, redonner un peu le sens de la mesure, une tarte c'est pas un coup de couteau, faut arrêter les conneries avec la violence physique, et mettre à égalité le coup de fer à repasser chaud dans la tempe, et le coup de pied au cul de son petit con de gamin. Je sais bien que la justice fait la différence, mais dans un dialogue politique le terme "violence physique" met tout ça au même rang. D'ailleurs la justice fait très bien cette nuance entre coup et blessure, et même intention de blesser ou de donner la mort, les circonstances, etc.
La justice doit aussi avoir des repères objectifs pour désigner cette violence et les préjudices subis. Ce qui fait que la violence verbale est compliqué à traiter, les "marques" sont invisibles et reposent sur la crédibilité de la victime. Cependant un pervers trouvera toujours un moyen de tricher, et donc il est pas rare qu'une pseudo victime s'auto mutile et accuse un autre de l'avoir agressé.
Le plus simple c'est de traiter le problème à la source, c'est à dire l'école, et de recadrer tout ça avec une discipline martiale.
Je pense vraiment que l'escalade de la violence morale/verbale qui est traité à la légère est une composante évidente de cette société féminisé. On punit la tendance masculine (qui peut se trouver chez des femmes, je parle de comportement général), et on laisse libre recourt à la tendance féminine, violence physique punit sévèrement, violence verbale toléré. Les mecs qui jouent à ça se laisse dominer par leur part féminine, le coté sournois, comme je suis "moins fort physiquement" je te détruit autrement.
Je pense sincèrement qu'il y a une oppression du véritable "mâle virile" si on devait le nommer. Le mec qui juste en levant sa main calme tout le clan familiale, y en a un qui fait un pet de travers, et il se mange une 250 km/h dans l'oreille, a pu tympan. Et je dis ça en connaissance de cause, j'avais beau m'amuser avec mon père, parfois j'allais trop loin et je faisais vraiment le con malgré les menaces de punition, quand il sortait son espadrille je savais que j'étais foutu, et je t'assure que je me calmais direct et que je recommençais pas (par contre j'échappais pas au rappel de la force de frappe du daron, histoire que je joue pas au con durant les prochaines semaines, voir mois).