Disons que les 5 PW arrivent et se rendent compte que leur plan (la surprise et rien d'autres) risquent d'être vraiment foireux. Liliana les guide vers Amonkhet, où elle se réjouit de pouvoir mener à bien son plan secret de détruire l'autre démon de son pacte qui pue. On apprend aussi qu'ils se sont donnés rdv tous avec Ajani dans un autre plan ensuite, qui est un nouveau plan (seule Liliana le connait ... Atlazan semble se confirmer, mais je dois abandonner mes idées de "plan invisible" ...)
Ils se prennent une tempête de sable, un assaut de zombies qui dormaient sous les dunes et des guivres de sable trop badass ... Ils ont du mal à canaliser leurs pouvoirs car les leylines d'Amonkhet semblent faibles. Bref, il y a peu de manas dans ce plan (ou du moins en apparence). Et ils se font surprendre par une spécificité étrange :
les morts se zombifient spontanément, sans intervention de nécromancien. Ainsi, une guivre abattue revient seule à la vie ...
Cela doit expliquer pourquoi l'embaumement est une pratique blanche, d'hygiène publique, sur ce plan.
Au moment où tout semble foutu, qu'ils sont tous KO et qu'il ne reste que Gidéon capable de se battre, un Dieu tue la dernière guivre et Gid se prosterne à ses pieds tellement c'est beau et tellement il croit être rentré sur Théros.
"Il lui fallait savoir : Comment un monde prétendument dominé par un diabolique dragon ancestral peut-il aussi abriter des êtres divins ?"
Paradoxe qui sera résolu quand on s'apercevra que ce ne sont pas des Dieux. [ah ah ah!!!]
Du reste, Jace se pose une bonne question (en plus de : "pourquoi pas faire un plan?") : qu'est venu faire Nicol Bolas sur ce plan ?
Citation :
Nous avions affaire à un plan pour le moins inhospitalier, dont Nissa avait souligné qu’il semblait plus mort que vivant et où des momies s’embusquaient apparemment sous les collines, en attendant de surgir pour dévorer les passants.
Mais pourquoi Bolas aurait-il fait son fief d’un tel monde ?
Quels secrets ces sables renfermaient-ils ? S’agissait-il réellement d’un monde fantôme ? Et à quoi ces cornes titanesques servaient-elles ? Naturellement, on pouvait supposer que Nicol Bolas possédait un orgueil tel qu’il s’était construit là un monument à sa propre vanité. Néanmoins, il n’était pas adepte des gestes narcissiques et hyperboliques s’ils étaient gratuits. Non, ses actes servaient au contraire toujours des objectifs précis, mais dissimulés sous plusieurs couches de mystère, et ceux-là, oui, étaient nombrilistes et mégalomanes.